Coucou les filles !
Aujourd’hui je vous retrouve suite à de nombreuses demandes de votre part, concernant l’alimentation que je compte donner à Lyanna vu que je suis végétarienne, enfin que « nous » le sommes, même si Thib lui, ne l’est pas à part entière si je peux dire ça comme ça, oui, Thib a les même convictions que moi, mais il ne les exprime pas de la même façon et donc continue de manger de la viande au restaurant et lorsque nous sommes invités. Chacun pratique comme il l’entend, je ne le juge pas, car pour moi, qu’il n’en mange pas à la maison est toujours ça de pris contre l’agro-alimentaire et pour la cause animal. Oui, je vois le verre à moitié plein et non à moitié vide, c’est important ^^.

Du coup, allons-nous lui donner de la viande et du poisson, va t’elle avoir des gâteaux industriels ? Des bonbons?

Lyanna va t’elle avoir la même alimentation que nous?Avant toute chose, je voudrais vous dire que si pour certaines je parais agressive et n’acceptant aucun conseil de personne c’est faux. Sachez que quand on devient maman ou que l’on est à quelques mois de le devenir, on comprend vite que si on ne met pas de limite, tout le monde (même les inconnus) a toujours quelques choses à redire sur notre façon de faire, et quand on est maman, c’est pénible. Vraiment. Alors oui, il faut apprendre à se faire confiance, et mettre de vraies barrières, parfois même sortir les crocs un peu avant l’heure afin qu’on nous laisse tranquille, sinon, on se sent envahie, et on ne vit pas pleinement et sereinement son rôle de maman.

Ici, je ne juge jamais personne, mon discours n’est jamais moralisateur (ou en tout cas c’est pas fait exprès), bien loin de là, ce serait juger mes meilleures amies, qui sont mes exemples, et celles que j’appelle dès que j’ai besoin d’un avis ou j’ai une question.

Chaque maman fait comme elle veut, comme elle le ressent, et je ferais pareil, je pense différemment car je lis beaucoup sur CE sujet. C’est tout, et encore une fois, je me dois de le préciser car dans ce monde, si ce n’est pas écris noir sur blanc, on saute sur l’occasion pour en tirer des conclusions négatives : prenez les choses au second degré.

Je vous écris avec le coeur, sans me relire, comme quand je discute avec ma meilleure amie, parfois oui ; je m’emporte, je parle sèchement, mais j’y repense ensuite et je relativise, comme si j’avais besoin de le dire pour que ça s’apaise. C’est mon caractère, ne me demandez pas de faire les choses différemment car ce ne serait plus moi, je ne serais plus « authentique » et je n’aurais plus grand intérêt d’être ici.

Je me suis relu, mais je n’ai rien voulu changer, c’est moi cet article, et si vous ne me comprenez plus, et bien nos chemins doivent se séparer, les filles, je ne change pas, j’évolue : en tant que femme et maintenant en tant que maman,et ça, c’est vital pour assurer son rôle.Bref, bref, bref, revenons à nos moutons ^^

Je vous invite déjà à lire mon article sur le « pourquoi j’ai arrêté la viande, le poisson et les crustacés », que je ne me répète pas pour celles qui lisent tous mes articles et afin que vous puissiez bien capter comment je vois les choses ; pour mieux les comprendre.

Donc parmi mes explications dans ce fameux article, je vous expliquais que j’espérais que les mentalités sur « le toujours plus de pognon au détriment de notre santé » changent, et que l’on puisse finir par (re)consommer de la viande/poisson/crustacés : « responsable » et dans le respect de l’animal, de sa santé, et de la nôtre.
J’espère que nous nous verrons de plus en plus proposés des produits de qualités dans les rayons de supermarché en les payant un peu plus cher, et je suis prête à ça, vu que ce sera meilleur pour notre santé : accessoirement la santé c’est comme la vie : on en a qu’une, hein les « gars » lol.
Je vous expliquais également dans mon article que j’ai arrêté la viande/poisson/crustacé pour faire percuter les gens et que s’ils achetaient tous local et responsable, j’aurai continué d’en consommer.
 
Je mangeais de tout, viande rouge, blanche, poisson cru, cuit, blanc, rosé, crustacé, bref, j’aimais tout. Plat en sauce ou viande simplement avec un légume, je mangeais car j’aimais. Je ne suis pas difficile du tout.

 

Comment je compte éduquer ma fille sur le plan alimentaire…

Je veux qu’elle soit sensibilisée à mes convictions, qu’elle aime les animaux, qu’elle soit sensible à la cruauté et sensible à sa bonne santé. Je veux (j’espère surtout) que Lyanna ait une vision élargie des choses, et pas uniquement celles que MOI j’ai, malgré que je suis sa mère et je considère avoir le DROIT de décider pour elle quand je trouve que c’est le meilleur selon MOI, personne n’a RIEN à me dire (alors oui tous les conseils sont bons à entendre mais pas à prendre, mais vous savez quand on a un enfant, il vaut mieux mettre des limites rapidement, sinon les « bons conseils » n’en finissent plus, vraiment).
J’estime qu’un enfant est sous l’autorité et les décisions de ses parents, on décide pour eux quand ils doivent mettre un manteau alors qu’ils n’en ont pas envie, on décide quand ils vont se coucher alors qu’ils veulent continuer leur activité, on décide pour eux qu’ils aillent à l’école alors qu’ils préfèrent dormir, on décide pour eux de ne plus leur donner de bonbons après telle heure, on décide pour eux de ne pas les emmener chez mc do, on décide pour eux ce qui nous semble être bien, bon. Alors le parent qui décide d’élever son enfant dans le végétarisme, véganisme a le DROIT et c’est son CHOIX qui ne regarde que lui. Oui, un enfant prendra ses décisions mais pas à 3, 4,5, 10 ans… Nous, parents, nous sommes là pour le faire pour eux, jusqu’à ce que l’âge de raison (le vrai) soit atteint (en soit qu’il ait leur propre logement et leur propre revenus quoi ^^), alors non, je ne suis pas d’accord que certaines personnes disent que l’enfant doit prendre sa décision seule sur son alimentation, car si demain l’enfant ne veut se nourrir que de bonbons, allons-nous le laisser faire? Non, on considère que c’est mauvais, donc on s’y oppose, et bien pour certaines personnes, la viande est mauvaise tout autant que les bonbons, chacun à sa perception et nous devons l’accepter sans juger, c’est ce que je veux apprendre à ma fille : l’ouverture d’esprit.
 
Dans cet article sur l’alimentation que je compte donner à ma fille, je vais parler de la viande oui ou non, mais aussi « du reste », comment nous voyons les choses avec son papa, sucrerie, gâteaux, quel type de cuisine etc… Mais avant, voilà quelques sources afin de s’informer sur certaine chose qui m’ont paru importantes de vous partager, afin que vous puissiez bien comprendre le pourquoi du comment…
« Le nombre d’enfants touchés par le diabète augmente chaque année en France depuis 20 ans : Ceux de moins de 5 ans concernés par le diabète de type 1 augmente de 3, 7% chaque année. 15 000 enfants environ sont touchés par le diabète et 1 700 nouveaux cas sont dépistés chaque année. Un enfant sur mille environ est concerné et chaque année 15 nouveaux cas sur 100000 enfants sont diagnostiqués. 1 à 6 enfants ou adolescents de moins de 15 ans meurent d’un diabète qui a été diagnostiqué trop tard. »
« Diabète : il y a de quoi s’inquiéter pour nos enfants. On note en effet une forte augmentation du diabète de type 1 chez l’enfant de moins de 4 ans et l’apparition de plus en plus fréquente de diabète de type 2 ou diabète gras chez l’adolescent. Ces deux phénomènes pourraient être directement attribués à la hausse de l’obésité infantile. La France suit ainsi ce qui se passe aux Etats-Unis, tendance que l’on retrouve aussi dans tous les autres pays occidentaux. »

 

Bannir ces aliments des menus de bébé

  • Le lait de vache.
… et qu’il faudra attendre ses 3 ans avant de proposer un bol de lait de vache à son enfant.
  • Le sel, le sucre.
C’est un conseil répété dans toutes les maternités et autres PMI : ne jamais sucrer et saler vos compotes et purées maison. Un bon réflexe pour ne pas habituer le palais de votre bébé aux aliments trop sucrés et salés. Comme il découvre tous les goûts, il n’a pas besoin de les rehausser. « Ce n’est pas un danger sur la santé, mais plutôt une question d’éducation notionnelle, nuance la diététicienne. Les bébés ont beaucoup plus de papilles que les adultes, donc les plats leur paraissent moins fades.
  • Le miel.
Si le sucre est évidemment interdit, rien ne sert de le remplacer par du miel pour parfumer un yaourt ou un biberon de lait. Il est déconseillé de donner du miel aux bébés de moins d’un an car il existe un risque d’intoxication alimentaire rare à laquelle les enfants sont sensibles à cet âge, le botulisme infantile.
Ce n’est qu’une infime partie des choses que j’ai pu lire en me renseignant sur les effets de l’alimentations sur Bébé.
Alors voilà, ce que nous avons « décidé », pour qu’elle acquiert une ouverture d’esprit, il faut lui enseigner et lui montrer le bon exemple, elle prendra évidemment ses décisions par la suite, mais je ne veux pas lui entraver ses goûts, c’est-à-dire que je veux lui faire goûter à tout, tout en lui enseignant mes convictions, et avec tout les éléments elle verra plus tard quel chemin elle prendra. En attendant, je lui achèterais selon MES convictions que de la viande/poisson/crustacés local et de saison, en sachant toujours les provenances et la qualité. Elle n’en mangera pas tous les jours loin de là, mais une fois par semaine afin de pouvoir aimer tout, avoir un palais diversifié, cependant, j’interdis (le mot peut paraître fort mais je préfère ça plutôt qu’ils prennent la confiance et fassent n’importe quoi) tous nos proches de lui donner de la viande, je ne veux pas qu’elle mange de la merde, achetée je ne sais où et de je ne sais quelle marque. Chez les gens, elle mangera comme moi, sans viande afin qu’elle voit aussi qu’on peut assumer ses convictions en public avec le respect d’autrui.

Mais je ne me vois pas demander à nos proches : « montre la provenance de ton steak et je te dirais si tu peux en faire un à Lyanna », et les mettre face à leur consommation qui peut s’avérer être de la merde (à mes yeux selon les informations que j’ai, et ce n’est pas méchant quand je dis ça), je ne suis pas là pour mettre les personnes mal à l’aise ou les dévaloriser. Alors je serais radicale à ce sujet, pas de viande/ poisson à l’extérieur et j’expliquerai à Lyanna pourquoi du mieux que je le pourrais.

Je sais déjà que ce sera un « gros problème » pour ma mère par exemple qui veut toujours rajouter sa petite touche à elle dans les choses, d’ailleurs la dernière fois, elle mixe les courgettes que j’avais préparé pour Lyanna, et elle me dit, « je rajouter quoi? », je lui dis : « bah rien maman, c’est pur comme ça », elle me répond : « bah du beurre quand même? ».!!! Grrrr Bah non, pas un enfant de 5 mois. Déjà que c’est un sujet fâcheux car je cuisine sans MG et elle, c’est tout MG ! Alors quand ça concerne Lyanna, je mords !
Après je sais que pour pouvoir lui en donner, elle ira acheter « responsable » mais en soit, je veux garder ça exceptionnel.
Je ferais en sorte d’apprendre à Lyanna que les exceptions existent, car la vie n’est pas que noir ou blanche et je l’apprends encore à mes dépends. J’ai dit les EX-CEP-TIONS hein lol.
Lyanna apprendra qu’elle n’a pas besoin de viande pour se nourrir, que l’alimentation va bien au delà des pâtes, du steak haché et des frites.
Enfin, elle en aura mais ce ne sera pas quotidiennement, évidemment.
Après évidemment, elle aura ses préférences de goûts et plus ça ira plus elle aura une part de décision, je ne compte pas la dégoûter en la forçant, chaque enfant à une phase où ils s’éloignent des légumes à mon avis, enfin, en tout cas cela ne m’inquiète pas. C’est la façon, je pense que l’on va lui inculquer qui m’intéresse.
Tout comme ce qui concerne les sucreries, elle mangera des bonbons, du chocolats, selon moi, il ne faut pas en faire des interdictions, car c’est là que nous les dirigeons encore plus rapidement, mais je lui parlerai beaucoup, lui expliquerais ce qu’elle mange, ce que c’est.
Ouais j’serais relou quoi ^^
😉
Attention, on est d’accord que je ne compte pas faire des monologues à mon enfant de 2 ans (qui ne va « rien » comprendre) à chaque fois que je vais lui donner un bonbec mdr.
Non, plus sérieusement, dans mon idée, mon idéal, je veux qu’elle goûte à tout, qu’elle sache qu’elle peut manger de tout, mais qu’il y a des choses meilleures que d’autres. Je ne veux pas qu’à 18 ans elle découvre le poisson, la viande, les bonbons, clairement non quoi.

 

Il y a un juste milieu, il faudra que je réussisse à lui enseigner.

En fait, elle aura tout simplement notre alimentation, je remangerai de la viande avec elle, pour qu’elle voit que moi aussi j’en consomme quand c’est « éthique », idem, je lui achèterai de quoi lui faire des tartines de pâte à tartiner (carrément même car ici on en a), elle mangera des pâtes quand on en mange (soit une fois par mois limite ^^), et elle mangera des bonbons et ultra sucrée (avec modération) quand elle sera chez les Taties et sa Mamie car c’est la vie, et y’en a là bas, mais chez nous, on n’achètera pas de choses qu’on achète déjà pas pour nous car on ne trouve pas cela bon.
C’est logique selon nous.
Dans mon idée, surtout, je ne veux pas qu’elle sente un interdit. Je ferai plutôt une mise en garde à nos proches en leur disant que c’est quelques bonbons qu’ils pourront lui proposer mais pas le paquet, et pas non plus à certaines heures. C’est à eux que je dirais non, et pas à mon enfant qui ne comprendra pas. Elle en aura si ces copains en ont devant elle, pour ne pas la frustrer, vous voyez ce que je veux dire.
Une abonnée m’a demandé l’autre coup, si je n’avais pas peur en donnant des fruits dans sa grignoteuse d’habituer Lyanna à manger trop sucré?
Je lui ai répondu que je ne lui en donne pas tous les jours, mais uniquement quand elle a soit mal aux dents, soit quand elle n’a à mon sens pas assez mangé dans la journée. Deuxièmement, je lui ai expliqué deux choses, la première, je préfère donner une grignoteuse de fruit à ma fille, (qui se nourrit de bonnes choses par la même occasion) quand elle a mal aux dents plutôt que de lui donner un boudoir (compo : sucre farine et eau), c’est quand même bien moins sain et pour le coup ça, c’est une future addiction au sucre et la deuxième, je lui ai expliqué qu’au moins, Lyanna prend le plie (et moi aussi de lui donner ça) de manger des fruits, et par la suite, de ne jamais trouver ça étrange que du jour au lendemain je lui donne un fruit et pas un gâteau quand elle a un petit creux.
 
« L’éducation alimentaire » si je peux dire ça comme ça, se fait dès les premiers mois de vie selon moi. Nous en tant que parents on prend les bons réflexes pour la suite, et l’enfant lui, prend aussi de bonnes habitudes en ayant un palais qui reste sur des notes sucrées et salées naturellement par l’aliment.
 
Vous m’avez demandé comment je comptais faire, quelle idée j’avais des choses, les voici. Bien-sûr, je ferais tout ce que je peux, et pas forcément tout ce que je veux, car avec un enfant on fait ce qu’on peut pas, ce qu’on veut, et je le sais, je suis ouverte et je m’attends à un échec de mes convictions, oui. Mais, j’espère y arriver, on verra. Après, on a quand même une certaine façon de manger à la maison, je ne vois pas comment Lyanna pourrait ne rien vouloir de ce que nous consommons, et demander des choses qu’elle ne connaît pas.
 
Parfois, moi aussi j’ai envie de lui faire goûter ma glace, mon yaourt, lui faire lécher une goutte de ce que je mange, c’est marrant à voir, oui, je l’admets, mais je me reprends direct dans mes pensées, et me dit que y’a rien de marrant à jouer avec la future santé et alimentation de son enfant. Je suis tentée, certes mais je me reprends, et j’oublie aussi vite que ça m’est venu. Vraiment, je m’en voudrais toute ma vie si ma gamine contracte le diabète parce que je m’en suis amusée, c’est une maladie, une vraie, et à vie. Dans ma famille il y a des antécédents sur les problèmes des reins, mon grand-père paternel en est mort très jeune, il est hors de question que je fasse courir le risque à ma fille de modifier son palais et ses goûts, qu’elle aime manger extrêmement  salé et qu’un jour il lui arrive un problème. Sous ma responsabilité, je ferais tout (dans la limite de la non-frustration) ce qui est en mon pouvoir pour la préserver des vices alimentaires que notre société nous pousse à consommer.
Elle sera une enfant heureuse, mais je ne pense pas que le bonheur d’un enfant ne tourne qu’autour des bonbons, gâteaux et sodas qu’il va consommer dans sa journée, je saurais faire la part des choses entre le plaisir occasionnel et l’hygiène de vie quotidienne.
Je souhaite donc lui faire manger de tout, à petite quantité, à raison d’une fois par semaine, et je lui montrerai l’exemple car je me souviens que si mon papa ne mangeait pas comme nous, nous ne voulions pas manger nos légumes. Il était ravi de montrer l’exemple, lui qui ne jure que par les féculents (ou les crudités) lol.
Je ne sais pas si j’arriverai à faire ce que je vous dis là, Lyanna aura ses phases, ses goûts, mais je compte m’armer de patience et de subterfuge pour les moments où elle fera sa tête de mule. J’ai déjà quelques idées en tête.
Je ne diabolise pas les mamans qui donnent et donneront des sucreries à leur enfant, chacun fais comme il veut, si il veut, avec son enfant, personne n’est mieux ou moins bien. Selon moi, il faut juste être informée des risques car on ne parle plus de notre petite personne, mais d’un enfant, qui nous fait confiance, de notre enfant, et que le jour où il se passe quelques choses, nous devons pouvoir assumer les gestes que nous aurons eu. C’est tout.
Ma mère nous a toujours donné accès à toutes les sucreries, le nutella, nous n’avions juste jamais de sirop, coca ou sodas. On était deux et chacun à vécu les choses très différemment. Mon frère ne peut pas sentir un paquet de bonbons devant lui sans le dégommer dans la seconde, il a bu pendant longtemps un max de coca (il me semble), tandis que moi, je peux garder un paquet de bonbon des mois sur mon bar de cuisine et de ne jamais y toucher, le soda, je n’en ai jamais acheté pour noter consommation perso mais pour les invités ou pour l’apéro. Cependant, pour mon cas, j’aime avoir « très régulièrement » une tartine de pâte à tartiner, j’adore ça, mais ce n’est pas en excès.
Bref, je m’égare, mais pour vous dire que voilà, Bébé aura une alimentation avec de la viande et du poisson : à la maison, pour goûter à tout, et diversifier son palais, afin qu’au moment venu elle prenne ses propres décisions, et mène ses convictions comme elle l’entend, mais moi, je ne veux pas lui entraver ses goûts, car c’est quand même difficiles une fois qu’on aime rien de changer par la suite. Puis concernant les gâteaux, produits laitiers, sucres bonbons, je compte et j’espère l’en préserver le plus longtemps possible, je ne compte pas lui créer de frustrations et encore moins d’interdictions, mais uniquement lui donner dès à présent de bons réflexes. Je compte cuisiner tout et sans artifice et réhausseur de goûts, qu’elle aime les aliments bruts.
Voilà mon idée, mon envie, ce que j’espère réussir à faire avec Lyanna. L’avenir nous dira si j’ai réussi.
Attention, malgré que je compte mener l’éducation alimentaire de ma fille ainsi, en aucun cas je me permets ou me permettrais de juger les mamans qui font et feront différemment, mes amies ne font pas comme moi, et je n’ai jamais tenu à leur égard de discours moralisateur, elles savent faire, elles ont prit leur décision cela ne me regarde pas, et je m’adapte, c’est-à-dire qu’elles donnent des bonbons et sucreries à leur enfants, je leur en achète quand ils viennent à la maison, je les donne souvent aux parents et ils leur donnent ensuite quand ils veulent, jamais je n’ai dit à l’enfant : « non ici y’a pas de ça ». Je m’adapte aux façons de faire de chacune et j’en attendrais de même pour me concernant. Evidemment.
Tout comme je n’en achète pas quand la maman est contre. Respect des avis des autres.
Voilà voilà, vous m’avez demandé ce que je COMPTAIS faire, pas ce que j’allais faire, car pour le moment je ne suis pas devin, et comme je vous l’ai répété on fait ce qu’on peut et pas ce qu’on veut avec un enfant.
 
On part juste avec un « avantage » c’est qu’on achète pas certaines choses à la maison, donc déjà elle ne nous verra pas les manger. Et souvent, les enfants ont pour exemple leur parents, je crois lol.
 
Aller, vous avez compris mon idée, je ne veux pas faire de polémique, je veux juste partager avec vous et répondre à vos interrogations.
Je vous laisse, à très vite,
 
Des bisous,
PS : Lyanna a déjà commencé les petits pots car en allant au Portugal, je ne pouvais pas cuisiner, j’ai acheté des « Good Goût », la compo est top, j’en ai pris avec et sans viande, car c’est du bio.
Je pense m’organiser de cette façon jusqu’à ce qu’elle mange du solide, des morceaux :
Lui faire toutes ses bouillies végétarienne homemade, et quand je lui en donnerai avec de la viande et poisson (une fois par semaine chacun) : ce sera des petits pots bio, ppour ne pas aller acheter des grammes de viandes et poissons ; où je vais galerer plus qu’autre chose.
 
Vous savez (encore) tout… 🙂

 

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