Hello Girls,
Nous revoilà, again and again !
Si vous êtes à me lire c’est que vous êtes des mamans allaitantes, ou en projection de le devenir, ou alors vous êtes juste curieuses mais cela m’étonnerait car c’est quand même un article très centré dans l’allaitement, et qui ne concerne vraiment pas tout le monde.
La baisse de lait, de lactation !
Quand on allaite, ça nous ait déjà toutes arrivées je pense. Un coup de mou, un coup de stress, quelques jours à se nourrir moins bien, un bébé qui stimule moins bien car il s’ennuie au sein, qu’il a un rhume, bref, tant de raisons qui peuvent amener à remarquer une baisse de notre production de lait.
Comment on s’en rend compte ?
Un bébé qui a systématiquement faim, c’est sûrement que sa ration n’a pas été atteinte lors de la précédente tétée, un bébé qui s’énerve ou s’agite au sein, c’est qu’il a sûrement (attention, je ne donne pas d’avis ou que sais-je, mais juste un retour d’expérience partagée avec vous que je retranscris) faim et le lait n’arrive plus ou pas assez vite à son goût. Ou bien, comme moi, vous tirez votre lait après chaque tétée, et vous remarquez en tirer moins que d’habitude.
Pas de panique, baisse de lait ne veut pas dire : la fin de l’allaitement ! Pas du tout, c’est comme tout, un petit coup de pouce et ça repart. En règle générale, pour celles dont ça n’a pas fonctionné, ce n’est pas grave, ça arrive.
Cela m’est arrivé plusieurs fois de ressentir des baisses de lait, j’ai toujours réussi à la faire reprendre et de plus belle au début, et ensuite à retrouver mon rythme.
Pas de panique, baisse de lait ne veut pas dire : la fin de l’allaitement ! Pas du tout, c’est comme tout, un petit coup de pouce et ça repart. En règle générale, pour celles dont ça n’a pas fonctionné, ce n’est pas grave, ça arrive.
Cela m’est arrivé plusieurs fois de ressentir des baisses de lait, j’ai toujours réussi à la faire reprendre et de plus belle au début, et ensuite à retrouver mon rythme.
Comment je faisais ?
C’est là que je vous explique toutes mes combines ^^
J’alternais avec chacune d’entre elles, soit je n’en faisais qu’une et ma lactation reprenait facilement, soit j’alternais toutes ces techniques les unes après les autres dans la même journée.
Les tisanes allaitement et la chicorée :
Ha, j’en ai bu, et croyez-moi, si jamais je n’avais pas cru aux vertus de la nature, maintenant j’en suis convaincue !
En fait, pendant l’allaitement, il faut boire beaucoup, du coup, dans les premiers mois dès que je buvais quelque chose, c’était ce que je buvais avec la chicorée. Du coup, le fait de boire beaucoup était un critère que je remplissais et le fait de boire ces denrées m’aidait dans ma production de lactation. De plus, ça donne un très bon goût au lait, bébé apprécie.
En fait, pendant l’allaitement, il faut boire beaucoup, du coup, dans les premiers mois dès que je buvais quelque chose, c’était ce que je buvais avec la chicorée. Du coup, le fait de boire beaucoup était un critère que je remplissais et le fait de boire ces denrées m’aidait dans ma production de lactation. De plus, ça donne un très bon goût au lait, bébé apprécie.
Voici ceux que je buvais
Attention à bien contrôler la teneur en sucre de la chicorée, parfois c’est assez impressionnant ! Celle que je vous montre en a peu.
La stimulation :
Quelque chose que je faisais systématiquement quand je ressentais une baisse de lait c’était de stimuler ma production, en tirant mon lait :
> Plus fréquemment : Pour dire à mon corps « youhouuuu, on a faim ici, faut donner plus » ^^
> Plus longtemps : Pour montrer à mon corps que « bébé » insiste. Même si j’étais au tire-lait.
> En pleine nuit : Lyanna faisait ses nuits, mais je mettais un réveil pour tirer en pleine nuit, car notre corps assimile deux fois plus vite que bébé a besoin de plus de lait, puisqu’il se réveille en plein milieu de sa nuit (dire de médecins et d’ostéopathes).
L’homéopathie :
J’ai pris des granules à des moments où je ressentais de fortes baisses de lactations, notamment quand je mangeais moins en quantité (lors de cure detox par exemple), ou des gros chamboulements dans notre quotidien qui ont amené à une baisse de lait.
Il me fallait prendre 5 billes à chaque début de tétée (tirée).
- Ricinus communis 5ch
- Agnus castus 5ch
- Lac caninum 5ch
Les granules :
C’est mon ostéopathe qui me l’avait conseillé et ça a fonctionné du feu de Dieu.
Je devais prendre cela trois fois dans la journée il me semble, matin, midi et goûter.
L’alimentation complète :
Manger de tout et en bonne quantité était essentiel pour reprendre une production normale, j’ai beaucoup d’amies qui ont arrêté leur allaitement car elle perdait beaucoup de poids, et en parlant avec elle plus longuement, elles m’avouaient que leur alimentation était un peu bancale (pas toutes mes 1/2). C’est important, cependant ça arrive qu’on est une baisse d’appétit ou autre qui entraîne une alimentation moins complète. J’ai souvent mangé du Fenouil, ça tombait bien car j’adore ça, donc en complément des tisanes au fenouil, je le mangeais cru ou cuit. En salade ou en plat. Je me mettais à boire davantage de Calcium.
Ce qui pour moi est le meilleur :
Un combiné de tout ! Et surtout stimuler davantage ses seins, ses tirées, en fait c’est ce point qui est super important mais qui va de pair avec un/les autres(s).
Je ne sais pas si vous avez vous aussi vécu des baisses de laits, si ça vous effraye, si vous avez dû arrêter votre allaitement suite à ça, j’espère que vous accepterez de nous en parler en commentaire afin d’aider les futures mamans à réussir et faire perdurer le leur.
J’espère que cet article vous aidera et/ou vous rassurera.
Je vous dis à demain 😉
Des bisous.
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Coucou Mary,
Je viens de lire attentivement ton article même si pour moi l'allaitement est terminé depuis quelques temps.
J'ai allaité mon petit garçon à la demande jusqu'à ses 3 mois, et comme je devais reprendre le travail on est passé à l'allaitement mixte (avec encore une tétée le matin ou un bib avec mon lait si je partais trop tot) et la tétée du soir voir 2 quand il faisait le gourmand… Et à volonté le week-end. Puis la diversification alimentaire est venue rapidement vers 3 mois et demi. Mais j'ai quand même continué de l'allaiter jusqu'à ce qu'il arrête de lui-même : 12 mois et 15 jours.
Donc j'ai eu à maintes reprises quelques baisses de lait ou la peur d'en avoir, donc oui les tisanes d'allaitement étaient mes amies.
L'homéopathie j'y ai pensé, mais je n'ai pas repris rdv avec l’homéopathe pour avoir le dosage du coup je n'en ai pas pris.
Par contre la tétée de nuit ça oui, très tôt même car bébé à fait ses nuits de bonne heure, ça me permettait de lui faire du stock. C'est fou comme la nuit je tirait bcp plus de lait qu'en journée. Mais à la reprise du boulot j'ai espacé ce rdv avec mon tire lait car je ne tenais pas niveau fatigue.
En tout cas très bon article comme la plupart que tu fais d'ailleurs! Bonne continuation!
L’arrêt de tétines est la base lors d’une baisse de lactation. Attention aussi, ce qu’on tire avec le tire lait n’est pas représentatif de ce que peut prendre bébé. La succion de bébé sera toujours plus efficace(si bébé tète correctement, pas de frein, pas de biberon).
Bonjour Mary
Ma fille a 4 mois 1/2 et je l’allaite depuis sa naissance. Après un bon démarrage qui nous a permis de quitter la maternité un peu plus tôt j’ai senti une baisse de lactation vers 12-15 jours de vie. Elle était un peu ictérique et sa courbe en ralentissement (mais toujours croissante). Panique à bord on (pediatre, sage-femme, grands-parents, même mon mec à la fin) m’a très vite conseillé de compléter par un LA pour me permettre de dormir et de relancer ma lactation.
Alors oui plus on est en forme et plus on produit c’est sûr mais je ne comprenais pas comment remplacer une tétée par un biberon allait aider ma lactation dans un fonctionnement d’offre et de demande.
J’ai résisté malgré les fragilités que l’on peut avoir dans ce tout début de post partum. Bien sûr ma fille n’était pas en danger son poids restait tout à fait correct et la petite jaunisse était sous contrôle…
Pas de bib donc mais j’ai tout donné : tisanes, bières (sans alcool of course !), fenouil, boissons galactogènes. Tirage ++, beaucoup d’eau et surtout suppression de la tétine que l’on venait tout juste d’introduire pour me soulager un peu parce que besoin de succion ++ chez ma biche. Finalement tout est vite rentré dans l’ordre. Elle est passé de 3,130 kg à la naissance à 4kg à 1 mois et désormais 7kg à 4 mois 1/2.
Heureusement que ce n’est pas mon premier enfant et que j’étais plutôt informée sur l’allaitement parce que j’aurai sûrement céder aux injonctions notamment des professionnels à qui je fais a priori confiance.
L’allaitement est parfait pour moi car c’est à la fois un merveilleux travail de lâcher prise (dur quand on est du genre contrôlante de ne pas avoir l’œil sur les prises de son bébé) et en même temps si besoin moi qui suit méthodique j’ai les outils pour bosser à la relance de la lactation si besoin.