Nous y voilà, dernier jour de l’année ou premier jour, selon le moment où je vous publie mon article, mais les idées sont les mêmes, je préfère vous le dire de suite, je ne peux pas tout vous raconter sur mon état d’esprit à l’instant même, mais comme toujours, ça viendra et vous comprendrez beaucoup de choses, surtout si vous suivez mes vlogs, vous verrez et aurez des pièces de puzzles manquantes que j’ai parfois tenté de combler pour ce projet mais en attendant qu’il se concrétise et que je puisse ensuite vous en parler en attendant qu’il voit le jour, je me dois de taire des passages de notre quotidien depuis quelques mois.

 

Sachez que ce n’est juste pas facile, car j’aimerai tellement vous en parler, comme je le fais à mes amies, mais j’me porterai l’oeil j’en suis sûre, en tout cas la superstitieuse qui vit en moi, l’imagine ainsi.

2018 fût une merveilleuse année, pleines de merdes aussi, mais j’ai envie de dire comme tout le monde, on échappe ps à son lot annuel. La seule chose qui change c’est simplement notre force d’esprit à passer outre, à se relever, à continuer de chanter sous la pluie. « Chanter sous la pluie » OUI, apprenez à le faire si vous ne le faites pas, apprenez à sourire même quand ça ne va pas, je vous jure que ça aide, non ça n’enlève pas LE problème, mais ça aide notre psychologique à aller de l’avant, à voir les choses sous un autre angle et ça aide, croyez-moi.

Je pense que deux choses me sauve des coups de blues : ma fille et mes vlogs. Pour les deux je dois garder le sourire, encore le vlog je peux ne pas filmer (ou filmer différemment, en coupant les sons par exemple, ce que je fais parfois) si j’ai quelques choses, mais avec Lyanna, je ne peux pas couper les sons, je ne peux pas aller mal, je retrouve toujours une force d’une façon ou d’une autre pour sourire et ensuite j’en ai vraiment envie et j’repense plus aux soucis de suite.

Parfois, oui j’ai des soucis qui sont plus prenant, avant je me lançais dedans tête la première pour les régler, parler, arranger, trouver des solutions, aujourd’hui, peu de choses m’atteignent, et mon Dieu que ça fait du bien.

J’étais cette meuf qui culpabilisais de TOUT, en 2018 je suis devenue celle qui culpabilise juste trop. Mais plus de tout et pour tout le monde. J’ai compris, appris, que certaines personnes que j’ai beau aimer de tout mon coeur ne seront jamais satisfaits, jamais heureux, jamais bien, qu’on ne peut pas vivre pour les autres à part pour son enfant, la famille qu’on construit soi-même.

 

 

 

En 2018, j’ai arrêté de culpabiliser

de ne pas appeler mes meilleures amies comme avant la naissance de Lyanna, j’ai arrêté de culpabiliser de ne pas aller toutes les semaines chez mes parents, j’ai arrêté de regretter, et j’ai appris à vivre la vie que j’aimais vivre, et POUVAIS vivre selon mon quotidien et les moyens que je m’en donne. Je les aime et elles me manquent toujours autant mes amies, j’aime les avoir prêt de moi, j’aime quand on se voit, quand elles viennent et quand j’y vais, j’ai d’ailleurs passé beaucoup plus de temps avec elles cette année, en allant à Paris plusieurs fois et privilégiant d’aller chez elles que d’aller à l’hôtel dans les collab. Mais je sais aussi qu’aujourd’hui, je ne peux pas faire autrement.

Avant j’appelais quand je faisais du sport ou de la voiture, choses qui tombaient pendant leur heure de trajet aussi ou de sport.

Aujourd’hui, je fais tout ça à des heures qui ne sont pas du tout bonnes pour elles, et en travaillant de chez moi, ayant ma fille toujours avec moi, jonglant entre ses phases de jeux, mon boulot, mes appels pro, ma vie de femme au foyer, profitant des siestes de Lyanna pour faire des choses où j’ai besoin de calme pour avancer, non, je ne peux pas être au téléphone, à part quand je fais mon sport, et la voiture comme avant car malgré les apparences, je travaille 5 fois plus d’heures que quand j’étais en banque. Donc bref, j’ai enfin arrêté de m’en vouloir, de me sentir mal, je fais ce que je peux, et je peux moins, donc c’est comme ça, et je sais que ça n’enlèvera jamais l’amour que j’ai pour elles.

 

 

 

En 2018 j’ai appris à arrêter de vouloir être partout à la fois.

On ne peut pas voyager et voir ses proches, être triste de louper des moments, on ne peut pas avoir le bonheur de travailler de chez soi en voulant garder un rythme de vie comme les autres car en plus j’élève mon enfant.

J’ai compris que les gens passent la majorité de leur vie à regretter ou se plaindre. C’est jamais comme ils le voudraient ou plutôt ils ne comprennent pas qu’ils vivent justement la vie qu’ils veulent avoir. Et bien en cette fin d’année, j’ai compris comment je devais penser.

 

 

 

Les phrases si contradictoires :

J’ai pas d’argent moi pour voyager mais j’en rêve : j’vais me faire un nouveau tatouage, ça va 600 euros pour avoir une manchette… OK, moi 600 euros c’était le prix pour Rome 4 nuits en famille, donc tu as l’argent pour voyager, mais tu l’investis autrement, mais TU AS l’ARGENT !

J’aimerai trop maigrir putain, j’en ai marre de me sentir grosse : je reprends le sport en janvier, avant j’me laisse tranquille … OK donc au lieu de perdre 3 kilos tu vas devoir en perdre 6… NORMAL !

J’aimerai me mettre au sport, sincèrement, mais j’ai personne pour me motiver ! Bah toi déjà t’es la meilleure personne pour te motiver toi avec tes objectifs personnel. Mais viens on va courir demain ensemble si tu veux, arf, demain c’est grasse mat, j’ai bossé toute la semaine moi (oui moi aussi et jusqu’à 3h du matin des fois).

On ne changera pas certaines personnes, et il en faut car il faut de tout pour faire un monde, et avec mon caractère, je me dis que « Non, je ne vivrais pas ainsi, ne jamais kiffer la vie ».

 

 

 

Pour ma part ;

 

J’aime voyager et je voyage quelques que soit la distance et la longueur de mon voyage, on voyage, on aime ça, alors non, je ne regrette plus de ne pas voir mes proches chaque semaine, car si je les voyais chaque semaine, je serais comme eux à me dire que j’aimerai voyager, que j’en rêve.

Je ne sais pas de quoi demain est fait, je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve, ça c’est une certitude, on ne sait pas. Alors, quelque soit le moment, il faut en profiter.

On voyage, on le vit pleinement, sans penser à ce qu’il se passe en notre absence, et quand on est là, on est focus sur ce qu’on vit avec les personnes qui sont là. Evidement, ça ne veut pas dire, pas une seule seconde prendre son téléphone, mais sachez que quand je suis avec mes amies, ou en moment familiale je ne le prends pratiquement JAMAIS pour geeker, si je le prends c’est pour partager un moment avec vous. Mais jamais pour aller voir ce qu’il se passe chez les autres. Par contre, si on est longtemps longtemps ensemble, je dois bosser donc évidement, j’ai besoin de mon tel, pc etc. Mais la nuance est là, je bosse avec ces outils, c’est pas comme si pendant un repas entre amies, j’allais jouer à un jeu sur mon tel, ou à la play quoi.

Je dis ça car on ne fait jamais trop les nuances quand ça concerne les autres mais voilà les miennes de nuances lol.

Bref, 2018, j’ai certes eut des déceptions, certes pleuré, certes eut des coups de blues, mais sincèrement, pas une seule des épreuves n’a pas été bénéfiques pour moi, j’ai appris, grandis encore, j’ai souris encore plus. J’ai surtout appris à être libre dans ma tête concernant « les autres ». Je ne le serais jamais concernant ma fille, elle passera toujours avant tout, elle sera toujours ma plus grande préoccupation, je me remettrais toujours en question pour elle, sur elle, sur ma façon de faire. Essayer toujours de faire mieux que la vieille, plus que la vieille. C’est normal pour moi, selon moi, selon MA conception de la parentalité.

Je mettrais toujours les formes, je continuerai de veiller à ne jamais blesser, vexer gratuitement. Ne pas vanner un complexe. Je veillerai toujours à être la meilleure version que je puisse donner de moi, mais non, je ne culpabiliserai plus de mener la vie que je mène, de penser à repartir à peine rentrer de voyage car aujourd’hui, avec un enfant je peux le faire, parce que aujourd’hui nos santés nous permettent de le faire.

 

 

2018, grâce à toi

je sais dire non, je sais dire à des proches que je ne veux pas cuisiner pour eux car ils ne sont jamais contents donc j’ai plus envie de passer 5h en cuisine et finir en pleurs d’épuisement sans avoir eut un seul « c’était bon », aujourd’hui, je sais dire à mes proches qui n’aiment rien de mes convictions alimentaires, attendez les gars, ce soir on fait pizza 4 fromages, ça sera parfait pour tout le monde.

2018, je me suis servie des bâtons qu’on me mettait dans les roues pour en faire une construction, petit à petit je construis ma vie, pro et perso, en grimpant les étapes que je me fixe, sans rien lâcher. J’ai évolué de mes propres idées, cependant, j’ai rencontré des alliées exceptionnelles. Des personnes avec qui l’évolution se fait mains dans la mains, sincèrement, et ça fait du bien.

 

Mon bilan de 2018,

l’évolution de ma Lyanna encore et toujours, une année encore de passé à ses côtés, des hauts et des bas avec mon Thib mais on a toujours continué de parler pour se comprendre et avancer et s’aimer toujours plus fort. On a fait des voyages, un par mois, que c’était bien. Des collaborations toujours plus exceptionnelles pour moi, des marques et des agences qui m’ont fait confiances, des lectrices toujours plus présentes et plus nombreuses, des projets pro et perso qui naissent, des amitiés qui se solidifient encore qu’elles soient d’y à 15 ans ou d’y a 2 ans, des rencontres exceptionnelles avec vous, des copines virtuelles. 2018, ça a été une chouette année, et où je remercie Dieu, c’est de n’avoir perdu personne d’important, et encore moins d’avoir dû essuyer la perte d’un proche. Je remercie Dieu pour cette année, riche en rires, en sourires, en épreuves parfois dur mais pas insurmontables comme la mort de quelqu’un. Je remercie Dieu, car ça, ça c’est être capable de se rendre compte du bonheur que c’est de passer l’année sans devoir traverser ça.

 

En 2019,

je nous souhaite juste à Thib, Lyanna et moi, de vivre encore heureux, soudés, dans la joie et la santé, dans les voyages le plus possible et le boulot car je l’adore, je verrais nos proches quand on le pourra, j’espère régulièrement selon les emplois du temps de chacun, mais dans tous les cas, les vrais sont là depuis tant d’années, que je n’ai aucune question à me poser, la distance de joue pas sur la sincérité et quand on se retrouve, tout est comme le jour où on s’est quittés.

2019, je souhaite justement et simplement, de vivre la vie qu’on veut, et d’être avec les autres la personne dont on a besoin pour avancer. De près ou de loin, soyez cette personne avec ceux qui vous approche, de près .. ou de loin…

 

Passez une merveilleuse soirée, entre amis, en famille, en couple, juste avec vos enfants, sous un plaid, en bikini, en tenue de soirée ou déguisé, kiffez !

Ah, et j’allais oublier de vous le préciser, mais c’est tellement évident ; 2019 : ON CONTINUE de se sentir bien, bien dans son boule, on continue le sport, Cellublue, de manger sainement, on essaye de tendre à manger mieux, en 2019 : on s’aime et on s’entraide !

Je vous embrasse,

A l’année prochaine 😉

Détail de mes looks de fêtes présentés cette année, en collaboration avec Toison d’Or à Dijon ! J’ai tout acheté chez eux dans la boutique Newlook, je vous mets elle liens ici de deux tenues que j’ai porté pour les fêtes de fin d’année. L’enseigne avait de réelles pépites cette année !

Toison d’Or a revêtu ses plus belles décorations pour la période de Noël, foncez chez eux pour aller vous baladez et profitez du décor. Toison d’Or : On adore !

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PANTALON NOIR

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